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dans nos députés beaucoup ne servent à rien ,qu il soit de droite d'extrême droite ou la bande à mélenchon
Par Anonyme, le 28.08.2025
le"systême" s'est mis en place il y a logtemps à sept-fonds. deux "jeunes"moines , vers les années 7o, s'étaie
Par Yon, le 21.07.2025
merci frère de votre courage à nous partager votre souffrance. je vous prends dans la prière.
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Par Anonyme, le 17.07.2025
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Par Anonyme, le 31.08.2024
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Par lutter-contre-coro, le 18.08.2024
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Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour :
12.11.2025
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De façon inattendue, la solution pourrait venir de la Norvège, un pays qui ne fait pas partie de l’Union européenne. Le 22 octobre dernier, deux économistes norvégiens ont en effet publié une lettre ouverte proposant que leur pays se porte garant de cette saisie, en s’appuyant sur ses importantes richesses pétrolières et gazières. Le premier ministre, le travailliste Jonas Gahr Store, a accepté d’étudier cette idée, déjà soutenue par cinq partis norvégiens, dont trois appartenant à sa coalition. Le sujet devrait être débattu prochainement au Parlement, lequel joue un rôle essentiel dans le système politique norvégien.
Quels arguments prévalent en Norvège pour soutenir l’Ukraine ?Dans leur lettre ouverte, les deux économistes, Havard Halland et Knut Anton Mork, font valoir le fait que la Norvège a gagné beaucoup d’argent étant donné cette guerre. L’attaque russe a en effet provoqué une flambée des prix de l’énergie, qui a rapporté à Oslo l’équivalent de 109 milliards d’euros en 2022 et 2023. « Bien que le gouvernement norvégien contribue financièrement à l’effort de guerre ukrainien, il a refusé de faire don à l’Ukraine de ces 109 milliards d’euros de bénéfices exceptionnels. En amassant ces profits, le gouvernement norvégien a transformé notre pays en un profiteur de guerre », assènent les économistes.
L’argument semble avoir porté chez les responsables norvégiens. « Nous avons tant gagné d’argent du fait de cette guerre que c’est tout simplement une obligation morale »,a par exemple jugé Arild Hermstad, le dirigeant des Verts norvégiens, parti membre de la coalition (qui compte 8 élus au Parlement).
La Norvège, qui est membre de l’Otan, dispose d’une frontière avec la Russie, longue de 198 km. Depuis mai 2024, elle a interdit l’entrée des touristes russes. Même si elle n’a pas reversé l’intégralité de ses profits énergétiques à l’Ukraine, elle apporte un soutien important à ce pays. Elle a ainsi financé l’achat de deux systèmes antimissiles Patriot ainsi que celui d’obus pour l’artillerie ukrainienne. Oslo, qui a prévu de dépenser pour l’Ukraine 7 milliards d’euros en 2025, devrait mobiliser le même montant en 2026 – ce qui fait de la Norvège, selon l’institut de Kiel en Allemagne, le quatrième plus gros pourvoyeur d’aide à Kiev, derrière l’Allemagne et le Royaume-Uni en Europe.
Dans quelle situation financière se trouve l’Ukraine ?D’après une évaluation du Fonds monétaire international (FMI), Kiev a besoin de 2 milliards d’euros par mois pour continuer à résister à la Russie, en plus de ses ressources propres. Sans soutien extérieur, ses réserves en devises pourraient être épuisées d’ici février 2026.
L’Ukraine fait face, en effet, à une situation difficile : près de 17 % de sa population a quitté le pays et 20 % de son territoire est désormais occupé. Malgré la guerre, le pays continue de produire et d’exporter des céréales. Mais le conflit lui coûte cher : l’Ukraine doit financer l’effort de guerre, tout en continuant de payer ses fonctionnaires ou de verser les pensions aux retraités…
Kiev estime avoir subi des dégâts à hauteur de plus de 500 milliards d’euros depuis le début du conflit. C’est le montant des réparations qu’elle entend réclamer à la Russie après la guerre. En attendant, la saisie des avoirs russes pourrait permettre, au rythme actuel, de pourvoir aux besoins courants du pays durant près de trois ans.