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dans nos députés beaucoup ne servent à rien ,qu il soit de droite d'extrême droite ou la bande à mélenchon
Par Anonyme, le 28.08.2025
le"systême" s'est mis en place il y a logtemps à sept-fonds. deux "jeunes"moines , vers les années 7o, s'étaie
Par Yon, le 21.07.2025
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Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour :
12.12.2025
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Tout est parti du Palazzo Borromeo, qui abrite l’ambassade d’Italie près le Saint-Siège, non loin du Tibre. En sortant d’une réunion destinée, dans la soirée du mardi 13 février, à célébrer le 40e anniversaire de la révision des accords du Latran, le cardinal Pietro Parolin a été, comme il l’est très souvent depuis plusieurs semaines, interrogé sur le conflit israélo-palestinien. Et cette fois, ses mots, portant sur l’opération menée par l’État hébreu contre la bande de Gaza, ne sont pas passés inaperçus.
« Je demande que le droit à la défense d’Israël, invoqué pour justifier cette opération, soit proportionné, ce qui n’est certainement pas le cas avec 30 000 morts », a ainsi estimé le Secrétaire d’État du Saint-Siège. Qui a aussi qualifié l’opération israélienne de « carnage ».
Face aux journalistes qui le pressaient de réagir à une déclaration du ministre des affaires étrangères italien, qui avait expliqué quelques heures plus tôt, que l’opération israélienne était « excessive et disproportionnée », le prélat italien a rappelé la position du Vatican : « condamnation claire et sans réserve » de l’attaque perpétrée par le Hamas le 7 octobre, et « condamnation claire et sans réserve de tout type d’antisémitisme ».
Devant le début de polémique, provoqué en particulier par l’emploi par le cardinal Parolin du nombre de victimes telles qu’estimées par le Hamas, le Vatican a enfoncé le clou dès le lendemain. De tels propos « sont dictés par un regard réaliste sur le drame en cours », a ainsi insisté Andrea Tornielli, le directeur éditorial de Vatican News, le média officiel du plus petit État du monde, mercredi 14 février.
« Déclaration déplorable »« Pour le Saint-Siège, le camp choisi est toujours celui des victimes », poursuit encore le journaliste italien, citant tout à la fois « les Israéliens massacrés chez eux dans les kibboutzim » et « les civils innocents – dont un tiers d’enfants – tués par les bombardements sur la bande de Gaza ». « Ce qui se passe à Gaza ne peut pas être qualifié de “dommage collatéral” de la lutte contre le terrorisme »,insistait encore l’éditorialiste du Vatican.
Cette clarification n’a pas empêché les protestations d’Israël, qui a condamné une « déclaration déplorable »du cardinal. « Juger de la légitimité d’une guerre sans tenir compte de TOUTES les circonstances et des faits pertinents porte inévitablement à des conclusions erronées », peut-on lire dans un communiqué diffusé mercredi 14 février par l’ambassade d’Israël près le Saint-Siège. Un texte dont les auteurs qualifient Gaza de « plus grande base terroriste jamais vue » et assurent que « les opérations de l’armée israélienne se déroulent dans le respect complet du droit international ».
« Ce n’est pas une guerre, c’est du terrorisme »Ces échanges tendus viennent raviver les désaccords entre Israël et le Vatican, réguliers depuis le 7 octobre, date de l’attaque d’Israël par le Hamas. Lors des premiers jours de la riposte israélienne sur Gaza, le Vatican avait notamment fait savoir au gouvernement du premier ministre Benyamin Netanyahou, qu’il assimilait l’action de l’armée israélienne à du « terrorisme ». Un jugement, exprimé en privé, mais répété par le pape à un groupe de Palestiniens en visite au Vatican, en novembre. « Ce n’est pas une guerre, c’est du terrorisme », avait-il insisté.
Si le Vatican a condamné, dès les premières heures, l’action du Hamas, les diplomates du Palais apostolique se sont vus reprocher de ne pas soutenir suffisamment l’État d’Israël. « Les Israéliens estiment que nous ne les soutenons jamais assez, explique une source diplomatique vaticane. Mais ils réclament un soutien inconditionnel, que nous ne pouvons pas lui apporter. »
Dans une lettre publiée le 3 février, et adressée aux juifs habitant en Israël, le pape François avait condamné « toute manifestation de haine contre les juifs et le judaïsme », expliquant être préoccupé « par la terrible augmentation des attaques contre les juifs dans le monde entier ». La veille, il avait accordé une audience à l’ambassadeur israélien près le Saint-Siège, semblant marquer une détente dans les relations entre les deux parties. Elle n’aura duré que peu de temps.