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dans nos députés beaucoup ne servent à rien ,qu il soit de droite d'extrême droite ou la bande à mélenchon
Par Anonyme, le 28.08.2025
le"systême" s'est mis en place il y a logtemps à sept-fonds. deux "jeunes"moines , vers les années 7o, s'étaie
Par Yon, le 21.07.2025
merci frère de votre courage à nous partager votre souffrance. je vous prends dans la prière.
pers onnellemen
Par Anonyme, le 17.07.2025
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Par Anonyme, le 31.08.2024
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Par lutter-contre-coro, le 18.08.2024
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Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour :
06.10.2025
11984 articles
Depuis 1977, ce centre, au service de l’Église catholique du Royaume-Uni et en Irlande, met en avant la recherche sur la bioéthique. Sur son site, il se décrit comme « une plateforme de premier plan dans la conversation mondiale sur la bioéthique », avec pour objectif de faire interagir des chercheurs issus de courants religieux et philosophiques différents. Ces réflexions sont ensuite partagées au grand public à travers des livres, des conférences ou des séminaires afin d’améliorer la compréhension globale des grands sujets bioéthiques.
Le nom du centre est un hommage à Elizabeth Anscombe, une philosophe catholique reconnue à Oxford et Cambridge dans la seconde moitié du XIXe siècle. En 1956, elle s’oppose à ce que l’université d’Oxford décore l’ancien président américain Harry S. Truman en raison de sa responsabilité dans les bombardements de Nagasaki et d’Hiroshima. Elle prend ensuite position aux côtés de l’Église catholique contre la contraception, l’euthanasie, l’avortement et l’homosexualité dans les années 1970.
Des victoires contre l’euthanasiePendant ses quarante-huit années d’activité, le centre d’Anscombe a manifesté son opposition aux projets de loi contraire à son éthique. « Ce soutien a également permis d’empêcher les tentatives répétées de légalisation de l’euthanasie ou du suicide assisté en Grande-Bretagne et en Irlande, de 1993 à aujourd’hui », se félicite David Albert Jones dans le communiqué de fermeture du centre.
Toutefois, le centre n’a pas pu empêcher toutes les lois ayant une vision de la bioéthique différente de la sienne. En 1990, la loi sur la fertilisation et l’embryologie humaine autorise l’accès à l’assistance médicale à la procréation aux couples hétérosexuels, mariés ou non, mais aussi aux femmes seules ainsi qu’aux couples homosexuels féminins. Dans ces situations, les spécialistes de la bioéthique du centre ont continué d’accompagner l’ensemble des personnes impliquées.
« Même lorsqu’il n’a pas été possible d’empêcher l’adoption d’une loi contraire à l’éthique, le Centre a toujours témoigné de la dignité de la vie humaine, de la conception à la mort naturelle, revendique David Albert Jones. Nous avons pu conseiller les professionnels, les soignants et les patients sur la manière d’agir de manière éthique malgré l’instauration de pratiques contraires à l’éthique dans le secteur de la santé. »
Le suicide assisté toujours évoqué en Écosse et au Royaume-UniReste désormais à voir l’impact de la disparition du plus vieux centre de bioéthique du Royaume-Uni alors que l’euthanasie est au centre de l’actualité britannique. Le 20 juin 2025, les députés de la Chambre des communes ont adopté en deuxième lecture une proposition de loi autorisant l’aide à mourir pour certains malades en phase terminale. Le texte qui a fait l’objet d’un scrutin très serré (314 voix pour et 291 contre) est désormais entre les mains de la Chambre des Lords. En 2015, le Parlement britannique avait rejeté massivement l’aide à mourir mais la tendance semble différente.
« Bien que le Centre ne soit plus en mesure de fournir de nouvelles ressources, nous encourageons vivement la population à utiliser celles déjà mises à disposition et à dialoguer avec le Parlement écossais et la Chambre des Lords, ces instances continuant de débattre de lois dangereuses et malavisées », conclut David Albert Jones. Compétente en matière de santé, l’Écosse ne dépend pas de la proposition de loi du Royaume-Uni et devra légiférer par elle-même.