soi sur france paris article dessous centre carte
Rubriques
>> Toutes les rubriques <<
· CULTURE (67)
· L'ACTUALITE (65)
· JARDIN (80)
· LA LECTURE (114)
· HUMEUR,HUMOUR ! (47)
· LES SCIENCES (85)
· RELIGION (65)
· HISTOIRE DE LA FAMILLE (47)
· PRIER (70)
· POESIE (62)
dans nos députés beaucoup ne servent à rien ,qu il soit de droite d'extrême droite ou la bande à mélenchon
Par Anonyme, le 28.08.2025
le"systême" s'est mis en place il y a logtemps à sept-fonds. deux "jeunes"moines , vers les années 7o, s'étaie
Par Yon, le 21.07.2025
merci frère de votre courage à nous partager votre souffrance. je vous prends dans la prière.
pers onnellemen
Par Anonyme, le 17.07.2025
ouedraogo,jose ph
Par Anonyme, le 31.08.2024
+229 95 67 77 26 retour d'affection immédiat
l e grand maître spirituel gambada djogbe apporte une aide pré
Par lutter-contre-coro, le 18.08.2024
· MILLARDAIRES
· SAINT JOSEPH ,PERE.PAR LE PAPE.
· lES EMIRATS ARABE UNIS
· FORUM DE DAVOS
· LA VAGUE VERTE
· LA TURQUIE
· ALLOCATIONS FAMILIALES
· ELECTIONS AMERICAINES
· ELECTIONS
· AVEC MACRON ?
· LES PARASITES
· MARITAIN
· 1200MILLARDS DE DOLLAR SUR LES INFRASTRUCTURES
· LAFILIERE
· LE CORAIL
Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour :
06.10.2025
11984 articles
L’Ile-de-France pourra-t-elle échapper à de nouvelles restrictions ? Alors que les indicateurs épidémiques fixés par le gouvernement continuent de se dégrader dans la région, les pronostics pessimistes étaient de rigueur, jeudi 1er octobre, avant la prise de parole du ministre de la santé Olivier Véran, prévue à 18 heures, depuis l’hôpital parisien Bichat. Au cours de la matinée, le premier ministre Jean Castex devait recevoir les maires et présidents de métropole de Paris, Lyon, Lille et Grenoble pour discuter d’« éventuelles adaptations » des mesures de restriction.
Déjà placée en zone d’alerte renforcée, synonyme de fermeture des bars à partir de 22 heures et d’interdiction de certaines activités sportives, Paris pourrait se voir imposer une fermeture totale des bars et restaurants, comme c’est déjà le cas à Aix-en-Provence (Bouches-du-Rhône) et Marseille depuis dimanche.
Lire aussiCoronavirus : Paris dans la crainte de nouvelles restrictions, le recours contre la fermeture des bars à Marseille et Aix rejeté« Nous ne sommes pas dans une situation qui permette de dire non à des mesures plus dures, ils ne peuvent pas aller en dessous de ce qu’ils ont proposé pour Marseille, il ne peut pas y avoir deux poids deux mesures », estime, résignée, Anne Souyris, adjointe à la maire de Paris chargée de la santé. Les autorités pourraient toutefois estimer qu’elles n’ont pas encore assez de recul pour savoir si les dispositions déjà prises sont suffisantes pour modifier la trajectoire de l’épidémie et être tentées d’attendre d’avoir davantage de données avant d’annoncer de nouvelles restrictions.
« On est sur un fil rouge »Les chiffres franciliens ne sont pas bons. A Paris, le taux d’incidence dépassait mardi la barre des 250 pour 100 000 habitants (259,6) sur sept jours, et celui pour les 60-69 ans dépassait les 100 cas positifs pour 100 000 (132,9), selon l’Agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France. Selon l’agence de sécurité sanitaire Santé publique France (SPF), le taux de positivité dans la région atteint désormais 10,6 %, au-dessus de la moyenne nationale (7,6 %). Mercredi soir, l’Ile-de-France comptait 384 personnes hospitalisées en soins critiques, soit plus de 32 % du nombre total de patients en réanimation, au-delà du seuil de 30 % obligeant les hôpitaux à organiser des déprogrammations.
L’effet des mesures qui pourront être prises ne sera de toute façon pas visible avant deux semaines, compte tenu du délai observé entre la contamination et l’hospitalisation en réanimation.
Lire aussiCovid-19 : comment les scientifiques jugent la stratégie sanitaire françaiseA Garches (Hauts-de-Seine), Djillali Annane, patron du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré, est déjà très inquiet : ces dernières semaines, il lui a fallu refuser de premiers patients atteints du Covid-19 ; ces derniers occupent les deux tiers de ses quinze lits de réanimation. « Les cadres jonglent tous les jours, pour savoir si on va devoir ou non bloquer une admission, on est sur un fil rouge », alerte-t-il. Ce n’est pas la situation de la première vague, où il devait refuser plusieurs patients par jour, mais « on risque d’y arriver plus vite », craint-il. Tout simplement parce qu’il n’a plus autant de lits.