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dans nos députés beaucoup ne servent à rien ,qu il soit de droite d'extrême droite ou la bande à mélenchon
Par Anonyme, le 28.08.2025
le"systême" s'est mis en place il y a logtemps à sept-fonds. deux "jeunes"moines , vers les années 7o, s'étaie
Par Yon, le 21.07.2025
merci frère de votre courage à nous partager votre souffrance. je vous prends dans la prière.
pers onnellemen
Par Anonyme, le 17.07.2025
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Par Anonyme, le 31.08.2024
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Par lutter-contre-coro, le 18.08.2024
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Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour :
18.09.2025
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Analyse
Article réservé à nos abonnés.Le premier ministre britannique Keir Starmer, lors de la conférence de presse à Donald Trump le 18 septembre 2025. ANDREW CABALLERO-REYNOLDS / AFP
Le premier ministre britannique a obtenu l’engagement de 170 milliards d’euros d’investissements américains dans les nouvelles technologies. Suffisant à ses yeux pour passer outre les critiques sur son invité imprévisible.
« Un des plus grands honneurs de ma vie. » Dans une ambiance à la fois feutrée et grandiose, Donald Trump a reconnu avoir été conquis par ses hôtes britanniques. Mercredi 18 septembre, 1 500 militaires avaient été postés tout le long du cortège du président américain, soit le plus grand nombre jamais mobilisé pour une visite d’État, avant qu’un défilé aérien, des rencontres avec les membres les plus éminents de la famille royale, puis un banquet de gala dans le palais de Windsor, ne finissent de l’éblouir.
Un séjour réussi ? Pas tout à fait. Quelques heures après l’arrivée de Donald Trump, les négociations sur l’abaissement de 25 % à 0 % des droits de douane imposés à l’importation d’acier britannique par la Maison-Blanche (contre 50 % à l’Union européenne) ont été stoppées net par la partie américaine. Ensuite, même si les autorités britanniques avaient tout fait pour isoler leur hôte des opposants à sa venue, leurs actions ne sont pas passées inaperçues. Mardi soir, des photographies de Donald Trump avec le pédophile et proxénète Jeffrey Epstein ont été projetées sur les murs du château de Windsor. Mercredi, des manifestations ont été organisées à Windsor et surtout dans le centre de Londres, où 5 000 personnes ont exprimé leur opposition à la réception d’« un violeur et un raciste », selon Zoe Gardner, l’un des responsables de la coalition anti-Trump.
En difficulté au niveau national, Keir Starmer n’a visiblement pas souhaité abîmer sa relation avec son « véritable ami », en le poussant trop sur les sujets diplomatiques, tels que l’Ukraine, l’Otan et Gaza. Il a mis en avant leur « accord de prospérité technologique », une gigantesque promesse d’investissement bilatérale de 250 milliards de livres sterling (290 milliards d’euros).
Des accords commerciaux, un soulagement pour Keir StarmerAprès avoir été le premier à signer un accord commercial avec les États-Unis en mai et à avoir obtenu des tarifs douaniers parmi les plus faibles, Keir Starmer a enregistré jeudi, 150 milliards de livres sterling (170 milliards d’euros) d’investissements américains dans le domaine de l’intelligence artificielle (IA), des centres de base de données et de fabrication de puces, notamment par les groupes Microsoft, Google, Nvidia et surtout le fonds d’investissement Blackstone, engagé à hauteur de 90 milliards de livres sterling sur dix ans. Ces apports considérables devraient créer 15 000 emplois, selon le responsable travailliste. Ils s’inscrivent dans sa stratégie dévoilée en janvier « d’injecter l’IA dans les veines de cette nation entreprenante » pour faire « du Royaume-Uni le leader mondial de l’IA ».Les deux pays avaient déjà dévoilé en début de semaine la construction commune de 12 petits réacteurs nucléaires.
De son côté, jeudi après-midi, Donald Trump paraissait aux anges, notamment après avoir assuré la promesse de nouveaux investissements britanniques aux États-Unis. « Nous avons l’intention d’être toujours le partenaire commercial le plus solide, le plus proche et le plus fiable du Royaume-Uni », a-t-il indiqué. De quoi contenter un Keir Starmer affaibli sur la scène politique intérieure