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dans nos députés beaucoup ne servent à rien ,qu il soit de droite d'extrême droite ou la bande à mélenchon
Par Anonyme, le 28.08.2025
le"systême" s'est mis en place il y a logtemps à sept-fonds. deux "jeunes"moines , vers les années 7o, s'étaie
Par Yon, le 21.07.2025
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Par Anonyme, le 17.07.2025
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Par Anonyme, le 31.08.2024
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Par lutter-contre-coro, le 18.08.2024
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Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour :
29.09.2025
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Analyse
Article réservé à nos abonnés.La délégation syndicale quitte la réunion avec le premier ministre, Sébastien Lecornu à Matignon, le 24 septembre 2025. DANIEL PERRON / Hans Lucas via AFP
Reçus mercredi matin 24 septembre à Matignon, les syndicats estiment ne pas avoir reçu de réponse du premier ministre, Sébastien Lecornu, et appellent à une nouvelle journée de mobilisation jeudi 2 octobre.
« Déception. » « Une occasion manquée. » À leur sortie de leur rencontre avec le premier ministre, Sébastien Lecornu, mercredi matin 24 septembre, les responsables syndicaux ne cachaient pas être restés sur leur faim après plus de deux heures d’entretien.
« Après la réussite de la mobilisation du 18 septembre, nous attendions des réponses du premier ministre, mais il n’a apporté aucune réponse claire aux attentes des travailleurs et des travailleuses »,a regretté la secrétaire générale de la Confédération française démocratique du travail, Marylise Léon, au nom des huit organisations de l’intersyndicale qui l’entouraient au milieu de la rue de Varenne où les attendaient les journalistes.
En amont de leur rencontre, l’intersyndicale avait formulé six demandes : que le gouvernement revienne sur le doublement des franchises médicales, renonce à l’« année blanche » budgétaire et à la suppression de 3 000 postes de fonctionnaires, abandonne son projet de réforme de l’assurance-chômage, abroge la réforme des retraites de 2023 et accède à la demande d’une plus grande justice fiscale.
« J’aurais été plus efficace à préparer des banderoles »« Nous n’avons eu aucune réponse sur ces points », a fustigé la secrétaire générale de la Confédération générale du travail (CGT), Sophie Binet, qui notait néanmoins une timide avancée, retenant que la « lettre de cadrage », par laquelle François Bayrou avait demandé aux partenaires sociaux de négocier sur une nouvelle réforme de l’assurance-chômage, semblait caduque.
Mais, sur tout le reste, le premier ministre, décrit par un syndicaliste comme « un sphinx qui ne dit rien », semble avoir été très évasif. « Il a dit qu’il comprenait qu’il faille plus de justice fiscale, mais sans rien dire de plus précis sur ce point »,a illustré la « numéro un » de la CGT pour qui cette matinée se résumait à« deux heures de langue de bois. J’aurais été plus efficace à préparer des banderoles ».
Sur la réforme des retraites, alors que les syndicats continuent, unanimes, à demander de revenir sur le report de l’âge légal de départ de 62 à 64 ans, Sébastien Lecornu n’aurait évoqué que la possibilité de repartir des conclusions du « conclave », mais sur lesquelles patronat et syndicats n’avaient réussi à s’entendre en juin. « Reprendre ce “conclave” avorté est pour nous hors de question », a prévenu Patricia Drevon, secrétaire confédérale de Force ouvrière, qui avait d’ailleurs quitté la table des négociations en cours de route.
Nouvelle mobilisation jeudi 2 octobre« Pour nous, tout cela est très insuffisant : le premier ministre avait annoncé une rupture et des engagements concrets : il n’y a ni rupture ni concret », a martelé Sophie Binet, tandis que d’autres syndicalistes décrivent « une rencontre lunaire »,en présence « de ministres démissionnés qui prennent quand même la parole et défendent des éléments d’un projet de budget qui a été rejeté avec le refus du Parlement de voter la confiance à François Bayrou. »
« Sébastien Lecornu nous a confié qu’il n’avait pas la maîtrise du budget, que celui-ci serait l’objet de nombreux compromis au Parlement et qu’il fallait lui laisser du temps. Mais du temps, nous n’en avons plus », résume Patricia Drevon. « Il reconnaît que jamais, sous la Ve République, un premier ministre n’a été aussi fragile,ajoute Sophie Binet. C’est une bonne nouvelle, car cela veut dire que nous pouvons le faire plier. » Et Murielle Guilbert, co-déléguée générale de Solidaires de conclure : « S’il ne veut pas entendre nos revendications, il devra les entendre par la rue. »
Fautes de réponses claires, les organisations syndicales ont donc appelé à une nouvelle journée de mobilisation, jeudi 2 octobre. Malgré les délais courts, les syndicats estiment avoir le temps de mobiliser leurs militants d’ici au milieu de la semaine prochaine. « Il faut dire que nous avons eu le temps de nous préparer et que l’ultimatum lancé après la mobilisation du 18 septembre ne laissait pas de doute sur ce qui pouvait se passer si nous n’avions de réponse »,confie un syndicaliste.