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Par Anonyme, le 28.08.2025
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Par Yon, le 21.07.2025
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Par Anonyme, le 17.07.2025
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Date de création : 30.11.2013
Dernière mise à jour :
05.09.2025
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Les faits
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Publié le 16 juillet, le motu proprio Traditionis custodes du pape François marquait par la sévérité de son ton à l’égard des fidèles attachés à la célébration de la messe selon sa forme préconciliaire. L’étonnement suscité par ce ton semble avoir tourné au désarroi au sein des instituts traditionalistes français, parmi les premiers concernés par les mesures de restrictions voulues par François concernant la messe dite de Saint Pie V.
→ TOUT COMPRENDRE. « Traditionis Custodes », le nouveau motu proprio du pape François
Dans une lettre (à lire ici) remise aux représentants des évêques français mercredi 1er septembre et que La Croix a pu consulter, les supérieurs de douze de ces principaux instituts – neuf masculins, trois féminins – font part de leur « grande souffrance », affirmant se sentir « soupçonnés, mis en marge, bannis ». Face aux décisions très restrictives édictées par le pape, ils plaident pour «un dialogue humain, personnel, plein de confiance, loin des idéologies ou de la froideur des décrets administratifs ». Pour cela, ils demandent aux évêques de France « qu’un vrai dialogue soit ouvert et que soit désigné un médiateur qui soit pour nous le visage humain de ce dialogue ».
→ EN DÉTAIL. Motu proprio : que dit la nouvelle règle
Cette lettre aux évêques a été écrite au cours d’une réunion « informelle »organisée lundi 30 août à Courtalain (Eure-et-Loir), où se trouvent la maison générale et le séminaire d’un des instituts concernés, l’institut du Bon-Pasteur, explique l’un des participants à La Croix. « Il a été décidé de prendre véritablement au sérieux ce que nous disait le pape et de nous tourner vers les évêques car le motu proprio vient leur redonner la place centrale dans la liturgie. »Selon lui, la missive des douze instituts n’est « pas un texte revendicatif »,mais une missive « entrée dans un esprit d’unité »et empreinte d’un « changement de ton » par rapport à des attitudes qui ont pu être adoptées dans le passé.
Pour les instituts signataires – dont la fraternité sacerdotale Saint-Pierre, l’institut du Christ Roi Souverain Prêtre, les chanoines de Lagrasse ou encore les moines de l’abbaye du Barroux – ce motu proprio est ainsi particulièrement inquiétant, car il remet en question l’une de leurs toutes premières raisons d’être, à savoir suivre la liturgie selon les livres antérieurs au Concile Vatican II. Traditionis custodes stipule en effet que les évêques ont désormais la « compétence exclusive »pour autoriser la célébration de la messe dite de Saint Pie V. Est également édictée que « l’unique expression de lalex orandi du rite romain »est celle exprimée par les livres liturgiques postérieurs au concile.
«Nous sommes prêts à nous convertir si l’esprit de parti ou l’orgueil a pollué nos cœurs », déclarent encore les douze signataires qui affirment également leur « adhésion »au magistère développé depuis Vatican II, comme deux gages de l’ouverture de leur missive. Pour l’heure, celle-ci a été remise à Mgr Éric de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France, ainsi qu’à Mgr Olivier Leborgne et Mgr Dominique Lebrun, désignés en juin par leurs pairs pour dialoguer avec les instituts traditionalistes.